mardi 20 décembre 2011

Glass et ses petits glaçons


Parfois, entre une bouteille de blanc et la suivante, il arrive qu'on parle de Philip Glass dans les dîners. Mais oui. Comment c'est beau, comment c'est simple et profond à la fois.  On se demandait justement l'autre soir si au fond la musique de Glass était triste ou pas. Pas si facile de répondre à ça, hein ? (surtout arrivés à la cinquième bouteille)… Non, pas vraiment, a émis Céd, c'est peut-être juste une musique qu'il ne faut pas que tu écoutes quand tu es déprimé. Mais bourrés, en revanche, c'est toujours aussi bien.

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