La pop française a les yeux dans le rétroviseur et comme une envie de s'amuser. Après Granville, qui lorgnait du côté des yéyés, les Bordelais de Pendentif ont posé leurs valises dans les eighties. Un son clin d'œil, mais des références pas trop appuyées sur ce premier album, Mafia douce, qui trouve le juste équilibre entre une certaine candeur et un song-writing efficace. Sans prétention, Pendentif décline sa pop enjouée, avec pour points d'appui les singles déjà repérés depuis quelques temps (Embrasse-moi, Jerricane), mais aussi d'autres beaux moments, à l'image du dernier titre, La nuit dernière. Percutant et rafraichissant !
mercredi 7 août 2013
Un zeste de pop ?
La pop française a les yeux dans le rétroviseur et comme une envie de s'amuser. Après Granville, qui lorgnait du côté des yéyés, les Bordelais de Pendentif ont posé leurs valises dans les eighties. Un son clin d'œil, mais des références pas trop appuyées sur ce premier album, Mafia douce, qui trouve le juste équilibre entre une certaine candeur et un song-writing efficace. Sans prétention, Pendentif décline sa pop enjouée, avec pour points d'appui les singles déjà repérés depuis quelques temps (Embrasse-moi, Jerricane), mais aussi d'autres beaux moments, à l'image du dernier titre, La nuit dernière. Percutant et rafraichissant !
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